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Une bonne santé mentale permettra de préparer sereinement l'obtention d'un diplôme

 

- Etre accompagné pour améliorer, sa concentration, sa confiance, la motivation et l'apprentissage. Diagnostic et bilan de vos ressources mentales à travers des tests de la personnalité et psychométrique.

 

-s'approprier des techniques de sophrologie (respiration et visualisation), pour apprendre à se détendre, à gérer le stress, à gérer ses émotions, à mieux dormir.

 

- Faire du sport pour trouver un équilibre entre le corps et l'esprit pour lâcher prise avec le défi ou réinstaller une activité faisant partie des raisons d'être.

  Vous êtes stressé(e) face à la quantité de travail que réclament vos profs, n'arrivez plus à gérer parmi toutes vos priorités, en un mot, vous êtes surmené(e)… Vous n'êtes pas seul(e) : élèves de prépa, lycéens préparant Sciences po, étudiants engagés dans des cursus exigeants à la fac, le phénomène se répand. Comment distinguer si c'est un épuisement chronique ou un coup de fatigue passager ? Comment ne pas y laisser votre santé. 

 

  "Les conditions du burn out sont, d’une part, l’accumulation de facteurs de stress, et, d’autre part, l’impossible hiérarchisation des priorités.” Le burn out des étudiants n’est donc pas identique au burn out professionnel (“on travaille trop”). Cela concerne quelques étudiants, mais ils sont rares. “Les étudiants sont des jeunes complètement dépassés par les événements, parce qu’ils ont des choix cruels à faire entre accompagner un parent malade ou un amoureux, faire face aux concours ou à un double cursus. Et c’est le fait de devoir faire des choix ‘impossibles’, c’est-à-dire qui vont pénaliser l’un ou l’autre de ces secteurs d’activité – universitaire, économique, affectif – qui va être à l’origine du burn out.”

 

De l’anxiété au découragement : les signaux qui doivent vous alarmer

 

Bien sûr, on ne craque pas sans préavis, du jour au lendemain. Certains signaux permettent de vous alerter. “Il y a deux phases. La première est la phase de lutte, où se manifestent anxiété, irritabilité… où l’étudiant essaie encore d’être dans le contrôle des opérations. Il s'évertue à s’adapter à l’augmentation de la cadence, et il commence à modifier son mode de vie, en s’accordant moins d’heures de sommeil et de loisir. C’est cela qui va déstabiliser l’équilibre interne du jeune : quand il va renoncer au long cours, c’est-à-dire sur plusieurs mois, à son mode habituel d’existence, lequel exige que soit introduit dans l’emploi du temps un type de plaisir qui lui soit précieux.”

 

 

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